En début d'année, le projet "Dancing in the street" est sorti de ma tête pour devenir réel. Je peins en petit format et en noir et blanc des personnalités du domaine musical, qui se produisaient seules ou en groupe. Je cherche ensuite des endroits où les coller.
J'essaye ainsi de donner une image aux passants, dans un contexte dans lequel ils s'attendent pas forcément à la recevoir. Le petit format de la peinture incite les gens qui la remarquent à faire attention à quelque chose qu'ils auraient pu ne pas apercevoir.
Les collages sont effectués à chaque fois en essayant de créer un lien entre le lieu et le dessin, une sorte de clin d’œil ou de rappel, plus ou moins évident. Je choisis des groupes qui n'existent plus en tant que tels ou encore des individus qui ne sont plus de ce monde, car cela rappelle l'éphémère, qui est souligné par la courte durée des collages (ceci ne sont pas fait pour résister aux intempéries). Le fait de les peindre chacun à la main, et non d'imprimer ou de photocopier les photographies qui servent de modèles, les rend chacun unique, même lorsqu'il s'agit du même individu.
J'essaye ainsi de donner une image aux passants, dans un contexte dans lequel ils s'attendent pas forcément à la recevoir. Le petit format de la peinture incite les gens qui la remarquent à faire attention à quelque chose qu'ils auraient pu ne pas apercevoir.
Les collages sont effectués à chaque fois en essayant de créer un lien entre le lieu et le dessin, une sorte de clin d’œil ou de rappel, plus ou moins évident. Je choisis des groupes qui n'existent plus en tant que tels ou encore des individus qui ne sont plus de ce monde, car cela rappelle l'éphémère, qui est souligné par la courte durée des collages (ceci ne sont pas fait pour résister aux intempéries). Le fait de les peindre chacun à la main, et non d'imprimer ou de photocopier les photographies qui servent de modèles, les rend chacun unique, même lorsqu'il s'agit du même individu.
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